DANS LES MÉDIAS

Entrevue, enregistré à Paris à Radio France Internationale (RFI), au micro de Catherine Fruchon-Toussaint, à l’émission Littérature sans frontières.

« Merci Akos Verboczy d’être venu nous parler de ce très très beau premier roman ».

Catherine Fruchon-Toussaint, RFI : Aller-retours entre Budapest et Montréal

« Convoquant ses souvenirs, brossant au passage le portrait de Budapest, capitale en perpétuel changement, avant et après la chute du rideau de fer, Akos Verboczy fait de son "ostalgie" un attachant legs littéraire. »

Ariane Singer, Le Monde : Embrasser la Hongrie natale - Document pdf

« Avec cet ample roman autobiographique, écrit dans un français mélodieux de dictée d'autrefois, Akos Verboczy réveille les fantômes des siens, les spectres de la Hongrie soviétique et le souvenir de ce père, qui avait tous les défauts, mais qu'il a follement aimé. »

Jérôme Garcin, Le Nouvel Obs : Partir pour Budapest - Document pdf

« Avec son premier roman intitulé "La maison de mon père", Akos Verboczy rend hommage à ses racines hongroises. L'auteur québécois, arrivé à Montréal à l'âge de onze ans, y raconte un voyage automnal à Budapest, sur les traces de ses souvenirs et de sa famille. Un récit tendre, drôle et subtil. »

Nicolas Juillard, Radio Télévision Suisse : "La maison de mon père", la recherche des gens perdus

« Un récit à la tonalité légère, empreinte à la fois d’une douce nostalgie et d’un humour discret. Il en ressort un ouvrage très plaisant à lire, à l’écriture douce, subtile et mettant en scène une imposante galerie de personnages secondaires qui, l’un après l’autre, tissent les liens entre l’enfance du narrateur et ses recherches contemporaines. »

Gabrielle Bonnet, Journal Ventilo : Millefeuille | La Maison de mon père

« Non sans émotion, l’alter ego d’Akos Verboczy se lance à la recherche de cette « maison où le grenier est au rez-de-chaussée ». Sur son chemin, l’enfant devenu quadragénaire s’affaire à retrouver différents membres de sa famille, et même son premier amour. L’occasion pour l’auteur au style tendre et lyrique de se frotter à une langue qu’il n’a jamais oubliée, et se révèle lourde de sens. »

Suzanne Canessa, Journal Zébuline : Énigmes du retour

« Vous deviendrez nostalgique de lieux et d’événements que vous n’avez jamais vus ni vécus, tant ils sont bien racontés. Verboczy satisfait votre curiosité avec des détails propres à la Hongrie, mais satisfait votre cœur avec des sentiments universels. Une lecture qui vous emportera sans doute. »

La Nuit sera Mots (Suisse) - Chronique livre de Martin Boujol

« Magnifique carnet d’un retour au pays natal, pays de l’enfance, pays du père, pays des origines, pays de l’autre en soi. D’une mélancolie humble et réservée, d’une retenue bouleversante. D'un humour délicat et sobre. Bouleversant. Un des meilleurs romans québécois de l'année. »

Dimanche on lit (FM103,3) : Mélikah Abdelmoumen, rédactrice en chef de Lettres québécoises

« Un excellent roman! Foisonnant d'information qui nous donne vraiment le goût de voyager, de rencontrer des gens… et de goûter les pâtisseries hongroises. C'est un coup de cœur. C'est vraiment un beau roman. Beau. C'est mon mot. »
(8 minutes)

Cochaux Show : Caroline Tellier commente la Maison de mon père

« Un récit humain et sensible. J’ai beaucoup aimé parce que Verboczy m’a donné le plaisir d’évoquer des moments qui flottent dans ma mémoire. Quelle joie que de lire un tel roman, moi qui entretiens une certaine nostalgie du passé, un bonheur qui me pousse dans une époque lointaine que je ne cesse d’embellir dans mes ouvrages, dans un monde qui restera dans ma tête jusqu’à mon dernier souffle ! »

Yvon Paré, Littérature du Québec : Verboczy visite le pays de son enfance

L'ancienne ministre Louise Beaudoin recommande la lecture de 'La Maison de mon père' au premier ministre du Québec, François Legault.

Bonjour tout le monde - Le balado du PM

« Retour en Hongrie pour le narrateur, installé depuis des années au Québec. Occasion de parler de ceux qui sont restés, de faire le tri des souvenirs, et de constater qu’on peut devenir étranger à sa ville natale. Une plongée historique et familiale sensible qui sait contourner les pièges de la nostalgie.  . »

Journal de Montréal : Six romans qui ont marqué les six premiers mois du monde littéraire québécois

« Chose certaine, je suis très heureuse que vous ayez écrit ce roman. J’ai beaucoup aimé votre livre, je le recommande à tous. C’est très bien écrit! »
Entrevue de fond avec Josée Bonneville à l’émission littéraire Arts et Lettres.
(60 minutes)

Arts et Lettres - Radio Ville-Marie

Entrevue radio avec Yves Houde en marge du Salon international du livre de Québec.
(30 minutes)

Magazine Entre-nous - Radio-Galilée

« Avec La maison de mon père, Akos Verboczy nous offre un premier roman nostalgique, dédié « à ceux qui restent », cahier d’un retour au pays natal sans triomphe, dans lequel un narrateur zigzague dans les lieux qui ont marqué son enfance heureuse. »

Christian Desmeules, Le Devoir : Akos Verboczy, fils d’Amérique

« Dans un premier roman magnifique, émouvant, rempli de souvenirs, d’une certaine nostalgie, de retrouvailles joyeuses et de moments plus douloureux, l’écrivain montréalais Akos Verboczy raconte l’histoire d’un homme qui retourne dans son pays natal, la Hongrie, après trente ans d’exil. »

Marie-France Bornais, Journal de Montéal : Revoir la Hongrie des années plus tard

« Un récit empreint de nostalgie et d’ironie qui interroge les racines et l’héritage que laisse l’immigration. »

Claire-Marine Beha, Artv : Neuf livres à lire ce printemps

« Akos Verboczy aborde d’une manière aussi lucide que délicate le moment du retour. [...] Il nous convie à un beau voyage: familial, géographique, historique, humain. Il fait bon l’y accompagner. »

Josée Boileau, Journal de Montréal : Un coin d’enfance à retrouver

« La finesse. C’est bien le qualificatif qui me vient en tête à la lecture de la prose de Verboczy. La finesse de l’écriture d’un. L’écriture est souple, fine, et le propos, sérieux, dramatique et même parfois grinçant est porté par un humour qui allège sans trahir. La finesse d’approche de deux, le roman étant construit par petites touches pour nous entraîner là où on ne s’y attend pas. »

Frédéric Lacroix, Blogue : Le monde d’hier : souvenirs d’un européen

« Pour celles et ceux qui ont aimé 1000 secrets, 1000 dangers de Alain Farah, ce livre s’inscrit dans le prolongement des mêmes questions identitaires tout en apportant un autre regard, plus doux peut-être, sur ce qui nous forme, nous construit et nous définit. »

Radio-Canada Bas-Saint-Laurent : Chronique de Louis Poulin


Rhapsodie québécoise

« Fascinant et magnifique récit, surtout lecture obligatoire avant de commencer à réfléchir sur la question du vivre ensemble.»
Serge Bouchard, Radio-Canada

« Un ouvrage maîtrisé et réussi. L’auteur, Akos Verboczy, se place solidement au cœur de son livre et on s’attache aussitôt à lui, à lui qui vous parle d’une voix sincère et chaleureuse qu’on reconnaît aussitôt pour celle d’un honnête homme, et sur un ton juste, souvent drôle, parfois même émouvant. Un essai incontournable. »
Normand Baillargeon, Les Libraires

« Un délicieux autoportrait, plein d'humour, de finesse et de tranchant. »
Louis Cornellier, Le Devoir

« Récit pétillant d’humour, finement bien écrit, riche en observations pertinentes – et impertinentes –, Rhapsodie québécoise jette un regard cinglant sur les enjeux actuels de la question identitaire et de l’intégration des immigrants. »
Christian Vachon, Librairie Pantoute

« Un récit éloquent, inspiré et inspirant, au ton accrocheur et drôle, qui en dit long sur le Québec et notre identité. »
Choix de la rédaction, Les Libraires

« Cet ouvrage est un petit bijou et devrait être lu par tous les députés de l’Assemblée nationale. »
Jacques Lanctôt, Journal de Montréal

« Dans un récit teinté d’ironie et d’autodérision, Verboczy raconte son parcours d’immigrant, son enfance dans le quartier Côte-des-Neiges, son intégration progressive et l’éveil de sa conscience politique. Un témoignage nécessaire, sans drame ni pathos. »
Nathalie Collard, La Presse

« Le livre est absolument charmant : le ton – plein d’humour –, la façon de raconter les choses. »
Catherine Perrin, Radio-Canada

« C’est remarquablement écrit, c’est pétillant d’humour. À l’heure où le mot « intégration » est sur toutes les lèvres, ce récit du parcours d’un enfant de la loi 101, Juif hongrois arrivé au Québec à l’âge de 11 ans, tour à tour camelot de la Gazette, commissaire scolaire et attaché politique au PQ, mérite d’être lu. »

Michel David, Le Devoir

« Ce livre est pour moi aussi important pour son époque que Le Marché aux illusions de Neil Bissoondath l’a été pour la décennie 1990. »

Jean-Félix Chénier, Magazine VOIR